jeudi 14 mai 2015

La Résistible Ascension d’Arturo Ui


La Résistible Ascension d’Arturo Ui

de Bertolt Brecht

mise en scène Gianni Schneider

 
«La résistible ascension d’Arturo Ui» fait partie des oeuvre majeures de Bertolt Brecht lorsque, au sommet de son art, il tenait à témoigner de ses réflexions sur l’humanité, sur la politique et les injustices. Ici, il tente une plongée aux racines du mal, en s’intéressant aux mécanismes qui ont permis à Adolf Hitler d’accéder au pouvoir. Mais bien sûr, comme toujours chez le maître du Berliner Ensemble, il y a transposition. Pas question de parler directement du «Führer» et de ses sbires !
L’action se déroule donc à Chicago, dans le milieu de la pègre, où agissent Arturo Ui et sa bande. Pas besoin de chercher très loin le modèle : c’est Al Capone himself ! Car pour Brecht il existe un point commun entre les pratiques de la pègre mafieuse et celles des nazis : l’usage du crime. Ici et là, on tue pour se débarrasser des importuns, on manipule, on falsifie, on prend le pouvoir.
Fable saisissante, pleine d’humour par moments, «La résistible ascension d’Arturo Ui» offre à Gianni Schneider l’opportunité d’une nouvelle mise en scène de Brecht, avec une très belle distribution romande, lui qui avait déjà signé, avec succès, «Le cercle de craie caucasien» il y a quelques années.



http://fr.wikipedia.org/wiki/La_R%C3%A9sistible_Ascension_d'Arturo_Ui

le reste doit étudier sur le lien dessus




Bref résumé de la pièce

Acte I        

La situation économique n’est pas très bonne à Chicago. Voyant ses revenus baisser, le trust du chou-fleur, dirigé par le très aristocratique Clark, décide de tâcher d’obtenir de l’argent par le biais de subventions de la ville. Pour cela, il lui faut obtenir la complicité du vieil Hindsborough, responsable politique respecté que le trust a toujours soutenu. Mais Hindsborough semble incorruptible. Ayant fait main basse sur la société de transport de Sheet, Clark et ses alliés offrent la moitié des actions de la société à Hindsborough, qui finit par accepter. Il reçoit également une maison de campagne.
De son côté, le chef de gang Arturo Ui cherche à s’immiscer dans le trust. Son heure arrive le jour où un de ses associés lui amène Bowl, ancien collaborateur de Sheet congédié par Hindsborough. Bowl apprend à Ui qu’Hindsborough s’est laissé corrompre et a soutenu contre pots de vin l’attribution de subventions au trust par la ville (subventions qui ont en fait été détournées). Arturo Ui se rend chez Hindsborough, lui fait comprendre qu’il est au courant de l’affaire et pourrait tout dévoiler. Il parvient de la sorte à imposer sa présence dans le trust. Son projet est en fait de racketter les marchands de choux-fleurs de Chicago, leur imposant une « protection » lourdement rémunérée contre de soi-disant violences.
L’ascension d’Arturo Ui commence.
La vérité sur l’attitude d’Hindsborough risque d’être dévoilée lors d’une réunion agitée du conseil municipal. Mais les deux témoins gênants possibles (Sheet et Bowl) sont assassinés par les hommes de Ui, lequel assure ainsi son pouvoir sur le trust.
Il prend maintenant des cours de diction et de maintien ; puis, soutenu par Clark, il harangue les marchands de choux-fleurs de Chicago, dans un discours qui conjugue démagogie et intimidations. Un marchand qui tente de contester les affirmations d’Arturo voit ses entrepôts brûlés. Au terme d’une parodie de procès, dominé par la violence des hommes de Ui, c’est un innocent, drogué par un médecin comparse, qui sera condamné.
Hindsborough est mourant. Gori et Gobbola, lieutenants de Ui, rédigent un faux testament au terme duquel le pouvoir sur Chicago sera confié à Arturo Ui. Mais les ambitions du gangster dépassent maintenant la ville, – il souhaite s’emparer de Cicero, ville dirigée Ignace Dollfoot, dont la presse est très sévère à l’égard des méthodes du trust et d’Arturo.
Les tensions sont vives entre les trois lieutenants de Ui : Gori, Gobbola et Roma. Roma sera finalement éliminé pour faciliter la conquête de Cicero. Les gangsters assassinent ensuite Dollfoot, assurant ainsi à Arturo le pouvoir total sur le commerce du chou-fleur dans les deux villes.
Tout est désormais en place pour la conquête d’innombrables autres cités.

http://www.ina.fr/video/CAC93080755





 

 

lundi 11 mai 2015

chant du front rouge allemand




Cocobello71
 
Gauche  gauche  gauche                                           
Battons le tambour
Donnons un coup puissant à l'ennemi
Mettons de la dynamite
Sous les fesses de la bourgeoisie
La menace fasciste
S'avance à l'horizon
Prolétaires, armez-vous
Front rouge, front rouge

Horst-Wessel-Lied

Horst-Wessel-Lied

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Page d'aide sur l'homonymie Pour les articles homonymes, voir Horst Wessel (homonymie).
Le Horst-Wessel-Lied (Chant de Horst Wessel) était, sous le nazisme, l'hymne officiel des SA puis du Parti national-socialiste des travailleurs allemands (NSDAP). Il a été constamment joué et chanté sous le Troisième Reich et son interprétation était obligatoire avant chaque concert de musique classique.
Le texte du Horst-Wessel-Lied avait été écrit par le jeune SA Horst Wessel, abattu en 1930 dans un échange de coups de feu avec des communistes.
Depuis 1945, selon l'article 86a du Code pénal allemand, le Horst-Wessel-Lied fait partie des signes d'organisations anticonstitutionnelles dont l'interprétation et la diffusion est interdite. Cette interdiction, qui découle directement du Procès de Nuremberg, concerne aussi la mélodie. Ainsi, même avec d'autres paroles, ce chant est donc tout aussi illégal.



Histoire[modifier | modifier le code]

Le Horst-Wessel-Lied a été publié pour la première fois en septembre 1929 sous forme d'un poème dans l’organe de presse des SA Der Angriff (L'Attaque) sous le titre Die Fahne hoch! (Le drapeau levé !).
Wessel s'est servi d'un texte écrit par le poète communiste Willi Bredel pour le Roter Frontkämpferbund (l'Union de défense du Parti communiste allemand sous la République de Weimar) et l’a adapté pour la SA.
Peu après la mort de Wessel, abattu par Alfred Höhler dit "Ali", membre du Rote Frontkämpferbund le 23 février 1930, le chant a fait l'objet d'une réimpression dans le Völkischer Beobachter avec la mention « Le salut de Horst Wessel à l'Allemagne à venir ». Le chant est alors devenu l'hymne officiel du Parti nazi et l'« évangile du mouvement » (Ingeborg Wessel).



Le texte de Wessel glorifie la SA, milice paramilitaire du NSDAP.
Version originaleTraduction
Die Fahne hoch!
Die Reihen fest (dicht/sind) geschlossen!
SA marschiert
Mit ruhig (mutig) festem Schritt
|: Kam’raden, die Rotfront und Reaktion erschossen,
Marschier’n im Geist
In unser’n Reihen mit :|
Le drapeau haut
Les rangs bien serrés.
(La) SA marche (défile)
D’un pas calme et ferme (courageux) !
Dans nos esprits les camarades fusillés par le Front rouge et la Réaction.
Marchent (Défilent) dans nos rangs avec nous !
Die Straße frei
Den braunen Bataillonen
Die Straße frei
Dem Sturmabteilungsmann!
|: Es schau’n aufs Hakenkreuz voll Hoffnung schon Millionen
Der Tag für Freiheit
Und für Brot bricht an :|
Libre la rue
Pour les bataillons bruns.
Libre la rue
Pour le membre de la Section d'Assaut !
Des millions, remplis d'espoir, regardent déjà la croix gammée.
Le jour de la liberté
Et du pain arrive.
Zum letzten Mal
Wird Sturmalarm (-appell) geblasen!
Zum Kampfe steh’n
Wir alle schon bereit!
|: Schon (Bald) flattern Hitlerfahnen über allen Straßen (über Barrikaden)
Die Knechtschaft dauert
Nur noch kurze Zeit! :|
Pour la dernière fois
retentit l'appel au combat
Déjà nous sommes tous prêts.
Bientôt les drapeaux hitlériens flotteronnt dans toutes les rues (sur les barricades)
La servitude ne durera plus longtemps!
Die Fahne hoch!
Die Reihen fest (dicht/sind) geschlossen!
SA marschiert
Mit ruhig (mutig) festem Schritt
|: Kam’raden, die Rotfront und Reaktion erschossen,
Marschier’n im Geist
In unser’n Reihen mit :|
(À la fin, la première strophe est reprise)

Mélodie[modifier | modifier le code]

La mélodie[1] reprend celle d'une chanson populaire (der Abenteurer) dont l'air lui-même est tiré de l’opéra Joseph d'Étienne Nicolas Méhul[2] qui est aussi le compositeur du célèbre Chant du Départ.

Contexte[modifier | modifier le code]

Sans une connaissance relativement précise de la situation politique en Allemagne vers 1930, à laquelle se réfère Horst Wessel, le texte de la chanson est difficilement compréhensible.
Cela tient non seulement aux passages qui se réfèrent dans le choix des mots ou dans l’intention au contexte de la fin de la République de Weimar, mais aussi à certaines incohérences techniques et linguistiques qui méritent d’être relevées.
Le terme de « Front rouge » (Rotfront), clairement péjoratif dans la bouche des nazis, fait référence au Rote Frontkämpferbund, milice antifasciste générée par le Parti Communiste d'Allemagne, le KPD.
Pour le lecteur actuel, qui assimile le nazisme (national-socialisme) avec l’extrême droite, il peut paraître étrange que Wessel fasse référence à la « Réaction », à la droite du parti nazi. Cela paraissait néanmoins avant 1934 naturel à bien des membres du NSDAP et particulièrement aux SA qui se considéraient comme appartenant autant à un mouvement social-révolutionnaire, opposé aux forces conservatrices et monarchistes de la bourgeoisie, qu'au Parti national du peuple allemand (Deutschnationale Volkspartei).
De fait les Nazis ont pris le pouvoir en 1933 dans une coalition avec ces forces « réactionnaires ». La fraction social-révolutionnaire du parti nazi ainsi que les SA ont été écartés en 1934 lors de la Nuit des longs couteaux, ce qui n’a pas empêché le NSDAP de faire de ce chant leur hymne et d'en rendre l'exécution obligatoire lors de toute manifestation officielle.

Parodies[modifier | modifier le code]

La parodie la plus connue est celle de la Kälbermarsch (en français : « La marche des veaux ») dans Schweyk dans la Deuxième Guerre mondiale (1943) de Bertolt Brecht (musique de Hanns Eisler) : et la horst chicken lied de chicken chaos (2015)
Version originaleTraduction
Hinter der Trommel, trotten die Kälber
(Das) Fell für die Trommel, liefern sie selber.
Der Metzger ruft. Die Augen fest geschlossen
Das Kalb marschiert mit ruhig festem Tritt.
(Die)Kälber, deren Blut im Schlachthof schon geflossen
Ziehen im Geist, in seinen Reihen mit.
Derrière le tambour, trottent les veaux
La peau pour le tambour, ils la livrent eux-mêmes.
Le boucher appelle. Les yeux complètement fermés,
Le veau défile d'un pas calme et ferme.
Les veaux, dont le sang déborde déjà dans l'abattoir,
Suivent par l'esprit dans leurs rangs.
Il existe une autre parodie :
Version originaleTraduction
Die Preise hoch, die Schnauze fest geschlossen
Hunger marschiert in ruhig festem Schritt
Hitler und Goebbels un'sre beiden Volksgenossen,
Hungern im Geist mit uns Proleten mit.
Les prix hauts, les gueules bien renfermées,
La faim marche d’un pas ferme et silencieux,
Hitler et Goebbels nos deux camarades,
Affament nos esprits de prolétaires.
Im Arbeitsamt wird SOS geblasen
Zum Stempeln stehn wir alle Mann bereit.
Statt Brot und Arbeit gibt der Führer uns nur Phrasen
Und wer was sagt lebt nur noch kurze Zeit.
Au bureau du travail, on sonne le SOS,
Nous sommes tous prêts pour le pointage,
Au lieu de pain et de travail, le Führer ne nous donne que des phrases,
Et celui qui parle ne survit pas longtemps.
Die Strasse stinkt nach braunen Bataillonen,
Ein Pöstchen winkt dem Strurmabteilungsmann.
Vielleicht verdient er, Morgen, als Bonze Millionen,
Doch das geht uns 'nen braunen Scheissdreck an !
La rue empeste des bataillons bruns,
Un gamin fait signe à l’officier de corps,
Peut-être gagnera-t-il comme chef de parti des millions demain,
Pourtant ça nous fait pas plus chier brun qu’autre chose.
Pierre Dac, sur l'antenne de Radio Londres, composa et chanta une chanson parodique contre les collaborateurs pronazis français sur l'air de Horst Wessel Lied :
Waffen SS, enfants de la milice,
C’est nous les durs, les mecs au cœur de fer,
Et nous n’avons pour utiliser nos services,
Qu’un seul patron, un seul Adolf Hitler.

Pétain, Laval, nos deux chefs responsables,
Nous ont donné Darnand comme Führer,
C’est donc à eux que nous sommes tous redevables
D’avoir l’honneur d’obéir à Hitler.

Du nom « Français » nous n’avons plus que faire
D’être nazis nous sommes bien plus fiers
Et s’il le faut, nous égorgerons père et mère
Car nous tuons au nom d’Adolf Hitler.

Bientôt enfin, viendra la récompense
Notre vertu recevra son salaire
Lorsque nous serons accrochés à la potence,
Nous crèverons au nom d'Adolf Hitler.
la horst chicken lied de chicken chaos
le drapeau haut
les rang bien serres
les poulet marche
d un pas calme et ferme
dans nos esprits les camarade tues par l abattoir et les renards
marchent dans nos rang avec nous
libre la rue
pour les bataillons jaunes
libre la rue
pour le membre de la section de la section poulet
des millions remplis d espoir regardent deja le drapeau bec
le jour de la liberte
et du pain arrive
pour la derniere fois
retentit l appel au combat
deja nous sommes tout prets
bientôt les drapeau pouletien flotteront dans toutes les rues
la servitude ne durera plus longtemps

Reprises[modifier | modifier le code]

Cinéma[modifier | modifier le code]

  • Dans une scène célèbre du film Casablanca, la voix des officiers allemands qui chantent est couverte par celle des clients du Rick's Café Américain qui entonnent la Marseillaise.
    Initialement, il était prévu que les Allemands chantent le Horst Wessel Lied, ce qui aurait été diversement apprécié et les producteurs ont préféré leur faire chanter le chant Die Wacht am Rhein, un chant patriotique qui remonte à l'Empire allemand.
  • Dans une scène du film Blues Brothers, le chef néo-nazi américain peint un aigle en écoutant un enregistrement nazi du Horst Wessel Lied.
Le Horst Wessel Lied est également chanté lors de la scène du massacre dans les Damnés de Visconti

Musique[modifier | modifier le code]

  • Milva, une chanteuse italienne (qui chante également en allemand) interprète dans ses albums Canti della Libertà (1965) et Libertà (1976) le Horst-Wessel-Lied de Brecht en italien.
  • Le Horst-Wessel-Lied est également utilisé dans beaucoup de morceaux de RAC allemand et plusieurs versions alternatives peuvent être trouvées sur internet.

Littérature[modifier | modifier le code]

  • Dans le roman noir Clause de style de Frédéric H. Fajardie, le commissaire Eugène Grindel fait état d'une vive altercation entre son célèbre collègue, le commissaire Padovani, et le jeune inspecteur Lutz, connu pour ses sympathies extrémistes, lorsque ce dernier a siffloté le Horst Wessel Lied.

Autres[modifier | modifier le code]

  • L'antenne d'Alberta de la Royal Canadian Legion a utilisé par mégarde en 2005 le Horst Wessel Lied comme mélodie dans une campagne publicitaire pour une loterie.
  • Dans le jeu vidéo Death To Spies : Moment of truth, on peut entendre le chant dans plusieurs camps Allemands.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]





 

Horst wessel lied



The tune of Horst Wessel was not an original composition, but an old folk tune common in northern Europe ("Well-known soldiers song"). The best-known example, in the U.S., is the hymn "How Great Thou Art". Listen to a juxtaposition of Horst Wessel with How Great Thou Art and note the similarity. Thanks to a musicologist from Berkeley for pointing out this connection.
English Translation (literal)
Flag high, ranks closed,
The S.A. marches with silent solid steps.
Comrades shot by the red front and reaction
march in spirit with us in our ranks. The street free for the brown battalions,
The street free for the Storm Troopers.
Millions, full of hope, look up at the swastika;
The day breaks for freedom and for bread. For the last time the call will now be blown;
For the struggle now we all stand ready.
Soon will fly Hitler-flags over every street;
Slavery will last only a short time longer.
Flag high, ranks closed,
The S.A. marches with silent solid steps.
Comrades shot by the red front and reaction
march in spirit with us in our ranks.

mardi 5 mai 2015

L'enfer - Episode 6

L'enfer - Episode 6


Replay disponible encore 6 jours et 9 heures

Résumé

Les Alliés sont bloqués en Italie par la Wehrmacht, solidement retranchée derrière la ligne Gustav. Dans les Ardennes, la contre-offensive ordonnée par Hitler s'avère d'une stupéfiante efficacité. Dans le Pacifique, l'armée nippone envoie ses kamikazes sur la flotte américaine. Mais ce ne sont que des soubresauts désespérés face à la formidable puissance économique des Etats-Unis. L'Armée Rouge fond sur Berlin et s'empare de l'Europe orientale. Pour limiter les pertes humaines face au fanatisme japonais, le président Truman déclenche le feu atomique. C'est aussi un avertissement lancé à Staline.

L'étau - Episode 5



5

L'étau - Episode 5

Replay disponible encore 6 jours et 8 heures

Résumé

Malgré de lourdes pertes, les Russes résistent à Stalingrad. Parallèlement, dans le désert d'Egypte, la Grande-Bretagne arrête l'avance de la Wehrmacht à El-Alamein. En France, Hitler envahit alors la zone libre pour contrôler le littoral méditerranéen du continent. Après la défaite de Stalingrad, les nazis entraînent l'Allemagne dans une guerre totale. Les Alliés débarquent en Sicile. Mussolini est arrêté mais Hitler organise son évasion et recrée un Etat fasciste dans le Nord du pays. Alors que l'étau se resserre autour des forces de l'Axe en Europe, les Alliés affirment une nouvelle exigence : la reddition sans conditions de l'Allemagne, de l'Italie et du Japon

L'embrasement - Episode 4

L'embrasement - Episode 4

Replay disponible encore 3 heures

Résumé

7 décembre 1941. L'aviation nippone attaque la base américaine de Pearl Harbor, à Hawaii. En réaction, le président Roosevelt déclare la guerre au Japon. En moins de six mois, le Japon conquiert la moitié du Pacifique. De l'autre côté du globe, dans l'océan Atlantique, les U-Boot allemands coulent de plus en plus de navires alliés qui ravitaillent la Grande-Bretagne, au bord de l'asphyxie. En guise de réplique, Churchill ordonne le bombardement de l'Allemagne. La population allemande commence à mesurer les conséquences de la politique de Hitler. Le régime nazi s'enfonce dans une démence meurtrière : lors de la conférence secrète de Wannsee, il met en place la «solution finale». Partout en Europe, commencent alors les grandes rafles de juifs.

Le choc - Episode 3

Le choc - Episode 3


Replay disponible encore 2 heures

Résumé

En 1941, Hitler est forcé d'admettre que la Luftwaffe et la Kriegsmarine ne parviennent pas à faire fléchir la Grande-Bretagne. Alors que le maréchal Pétain engage la France dans la collaboration, Churchill tient bon. Le 22 juin, Hitler se tourne alors vers le continent. Il rompt le pacte germano-soviétique et attaque l'Union soviétique. La Wehrmacht lance l'opération «Barbarossa» avec une brutalité sans précédent. L'objectif fixé par Hitler est d'exterminer les Slaves. Pris de vitesse, Staline initie la politique de la terre brûlée. Disposant d'une supériorité technique et tactique avérée, les troupes du Reich progressent de façon spectaculaire, jusqu'à ce que l'hiver russe ne change la donne.

L'écrasement - Episode 2

 

L'écrasement - Episode 2
Replay disponible encore 1 heure

Résumé

Le 10 mai 1940, l'armée allemande déferle sur la Belgique, les Pays-Bas et la France. C'est la Blitzkrieg, la guerre éclair. Après de rudes combats, le corps expéditionnaire britannique, encerclé à Dunkerque, est évacué vers l'Angleterre par la Royal Navy. L'armée française est battue et la population fuit : c'est l'exode. La France est désemparée et les Français doivent choisir entre la collaboration, avec Pétain, et la résistance, avec De Gaulle. Malgré le bombardement intensif des villes britanniques, Hitler prend conscience qu'il ne peut pas, pour le moment, venir à bout de la résistance du Royaume-Uni. Il décide alors de trahir son allié soviétique.

L'agression - Episode 1

 

L'agression - Episode 1

Replay disponible encore 1 heure

Résumé

Dès son accession au pouvoir en janvier 1933, Hitler compte sur l'inertie des démocraties européennes pour s'emparer des territoires qu'il convoite : l'Autriche est annexée et la Tchécoslovaquie est démembrée en 1938. Lorsque les troupes du IIIe Reich envahissent la Pologne en septembre 1939, la France et l'Angleterre n'ont plus le choix : elles déclarent la guerre à l'Allemagne. L'alliance secrète avec Staline s'avère extrêmement profitable. Les Allemands et les Soviétiques dépècent la Pologne. A l'Ouest débute «la drôle de guerre». Cette période d'incertitude trahit l'espoir de la France d'éviter un nouveau conflit meurtrier. Le traumatisme de la Première Guerre mondiale est encore très présent dans les esprits.

Couloir de Danzig





Corridor de Dantzig

 
Le couloir de Dantzig ou corridor de Dantzig, appelé aussi dans une certaine historiographie anglophone « corridor polonais », est un terme employé pendant l’entre-deux-guerres pour désigner la bande de territoires située à l’ouest du territoire de la ville libre de Dantzig. Cette bande de territoire permettait à la Deuxième République de Pologne, nouvellement créée à l’issue de la Première Guerre mondiale, de disposer d’un accès à la mer Baltique.

lundi 4 mai 2015

Berchtesgaden Chalet de Hitler

Berchtesgaden

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Berchtesgaden
Blason de Berchtesgaden
Héraldique
Administration
PaysDrapeau de l'Allemagne Allemagne
LandBavière
District
(Regierungsbezirk)
Haute-Bavière
Arrondissement
(Landkreis)
Berchtesgaden
Bourgmestre
(Bürgermeister)
Franz Rasp (CSU)
Code postal83471
Code communal
(Gemeindeschlüssel)
09 1 72 116
Indicatif téléphonique08652
ImmatriculationBGL
Démographie
Population7 752 hab. (30 juin 2005)
Densité223 hab./km2
Géographie
Coordonnées47° 37′ 59″ Nord 13° 00′ 00″ Est / 47.633, 13  
AltitudeMin. 520 m – Max. 1 100 m
Superficie3 478 ha = 34,78 km2
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Allemagne
Voir la carte topographique d'Allemagne
City locator 14.svg
Berchtesgaden
Liens
Site webwww.berchtesgaden.de
Berchtesgaden est une ville allemande, située dans les Alpes bavaroises.
Elle est située à l'extrême sud-est de l'Allemagne et de la Bavière, à 30 km au sud de Salzbourg (Autriche).
Si la ville de Berchtesgaden a été le lieu de résidence privilégiée de la princesse Marie-Élisabeth de Saxe-Meiningen, compositrice et mécène, elle est essentiellement connue pour avoir été le lieu de villégiature d'Adolf Hitler, dès les années 1930. Sa résidence, le Berghof, fut détruite par les Alliés en 1945. La sœur d'Adolf Hitler, Paula, vécut les dernières années de sa vie dans le village de Berchtesgaden et y mourut dans l'anonymat en 1960.

Joachim von Ribbentrop Ministre du Reich aux affaires étranges

Joachim von Ribbentrop, en avril 1938.
Joachim von Ribbentrop, en avril 1938.
Fonctions
Ministre du Reich aux Affaires étrangères
4 février 193830 avril 1945
ChancelierAdolf Hitler
Joseph Goebbels
GouvernementCabinet Hitler
Cabinet Goebbels
PrédécesseurKonstantin von Neurath
SuccesseurArthur Seyss-Inquart
Ambassadeur allemand en Grande-Bretagne
19361938
ChancelierAdolf Hitler
PrédécesseurLeopold von Hoesch
SuccesseurHerbert von Dirksen
Biographie
Date de naissance
Lieu de naissanceWesel, Rhénanie-du-Nord-Westphalie, Drapeau de l'Empire allemand Empire allemand
Date de décès (à 53 ans)
Lieu de décèsNuremberg (Allemagne)
Parti politiqueNSDAP
ConjointAnna Elisabeth Henkell
ProfessionHomme d’affaires
Diplomate
Ulrich Friedrich Willy Joachim Ribbentrop[1], plus connu comme étant Joachim von Ribbentrop ( à Wesel, en Allemagne – à Nuremberg, en Allemagne) fut ambassadeur du Troisième Reich de 1936 à 1938 à Londres, puis ministre des Affaires étrangères du 4 février 1938 au 30 avril 1945. Il a été condamné à mort lors du procès de Nuremberg en 1946 pour les quatre chefs d'inculpation suivants : plan concerté ou complot, crimes contre la paix, crimes de guerre et crime contre l'humanité.

Sommaire

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embrigadement

XVIIIe siècle. Dérivé d'embrigader.
1. MILIT. Formation d'une brigade par la réunion de plusieurs unités. L'embrigadement des bataillons.
2. Par anal. Péj. Action d'enrôler dans un but déterminé des personnes dont on exige une rigoureuse obéissance ; résultat de cette action. L'embrigadement de la jeunesse.



Tchécoslovaquie pendant la seconde Guerre mondiale

Tchécoslovaquie pendant la Seconde Guerre mondiale

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Le dépeçage de la Tchécoslovaquie à la veille et pendant le Seconde Guerre mondiale.
La Tchécoslovaquie pendant la Seconde Guerre mondiale couvre, pour l'essentiel, la période située entre le 15 mars 1939 et le 8 mai 1945. Le 15 mars 1939, les troupes allemandes envahissent la Bohême et la Moravie. La jeune Tchécoslovaquie est alors fragmentée pour une période de 6 ans. D'un côté, le Protectorat de Bohême-Moravie, amputé des Sudètes, est quasiment annexé au Troisième Reich ; de l'autre, la République slovaque est un pays indépendant, satellite de l'Allemagne nazie mais qui, jusqu'en septembre 1944, n'est pas occupé par la Wehrmacht. En outre, la Pologne et surtout la Hongrie s'emparent des territoires où vivaient des minorités polonaises, hongroises et ukrainiennes.

feldgrau gris verdâtre les soldat allemand

feldgrau
gris verdâtre  nom péjoratif pour les soldats allemands

fritz

fritz

abwertende Bezeichnung für Deutsche (verw. seit dem 2. Weltkrieg) ==

Marque humiliante pour des Allemands (verw. depuis la 2ème guerre mondiale)

les bochs

Boche est un terme péjoratif pour désigner un Allemand ou une personne d'origine allemande qui a été utilisé par les Français et les Belges de la Première Guerre mondiale jusque bien après la deuxième. Son usage, devenu rare et plutôt familier (aujourd’hui), peut être considéré comme injurieux. Mais il peut être accepté dans un cadre de citation ou de référence historique.
Il ne doit pas être confondu avec son homonyme, tombé lui aussi en désuétude : Boche, nom local du Boucher (métier) qui pourrait toutefois y trouver son origine péjorative.

dimanche 3 mai 2015

Stalag

Stalag


En Allemagne, pendant la Seconde Guerre mondiale, un stalag, abréviation de Stammlager, « camp ordinaire », venant du terme Kriegsgefangenen-Mannschafts-Stammlager, « camp ordinaire de prisonniers de guerre », est un camp de prisonniers destiné aux soldats et sous-officiers, les officiers étant détenus dans des Oflags.
Selon les Conventions de Genève de 1929, ces camps sont réservés uniquement aux prisonniers de guerre, pas aux civils.
Le Stalag Luft III, administré comme son nom l'indique par la Luftwaffe, a été le lieu d'une tentative d'évasion spectaculaire. Le , 76 prisonniers alliés s'échappèrent par un tunnel de 110 m. Cet épisode a été immortalisé par le film américain de John Sturges La Grande Évasion.
L'un des plus gros camps allemands de prisonniers de guerre était, entre 1939 et 1945, le Stalag VIII-B, à Lamsdorf en Haute-Silésie (aujourd'hui Łambinowice en Pologne). Plus de 300 000 soldats y furent emprisonnés. Près de 100 000 d'entre eux moururent de maladie, de faim, d'épuisement ou de mauvais traitements. Ils furent enterrés dans des fosses communes.